Profession : International Career, business & life coach.
Bon ca y est j'assume enfin...
Comment ca tu "assumes" ? Ne l'as-tu pas crie sur tous les toits ?
Et bien au début non. Après je le disais mais me sentait mal. A cause des sourires entendus, des ricanements et des "qu'est ce que c'est que ces conneries encore ?" En France, mais aussi ici.
Et puis aussi bizarre que ca puisse vous paraitre, je ne savais pas vraiment dans quoi je me lançais.
Court résumé.
Psychothérapeute, accompagnatrice au projet socio-professionnel, formatrice, spécialiste de l'Enneagramme, je ne rentrais dans aucune des petites cases, chères aux américains.
Les métiers qui me correspondaient étaient tous sous condition d'obtention d'une licence professionnelle. En plus de payer (entre 250 et plus de 500 $/an)je devais soit avoir un diplôme américain et de l'expérience aux states, soit me lancer dans une reconnaissance de mon parcours français, et des explications a n'en plus finir... je l'ai commence il y a deux ans et j'y suis encore !
Mais la déprime de "la nana le cul devant la piscine" me guettais. Nous sommes tous différents et je ne PEUX pas rester sans travailler (j'vous jure j'ai essaye !).
J'ai donc chercher une solution... simple, rapide, pas chère.
Coach !
La première fois que j'en ai entendu parle c'est en 1997, ou la technique arrivait a peine en France, et ou tout ce qui venait des States était considéré, dans le monde du social, comme l'antéchrist.
Après il y avait les coach sportifs. Immortalise par celui de la star ac, la quintessence du winner. Celui qui a la gagne. Qui est prêt a tout pour réussir. Qui coupe le monde en deux catégories : les winners, et les loosers - les gagnants et les perdants.
Bref tout moi !
Alors j'ai fais des recherches, longues qui n'ont pas donne grand chose. Et puis comme souvent pour moi, une rencontre, quelqu'un de formidable. Cette femme m'a dit tu mets ce que tu veux dans toute chose, alors tu seras unique et on te payeras a cause de cela.
En effet ce n'est pas une titre qui fait la profession mais le professionnel qui l'exerce.
Je ne suis pas "Coach", je suis moi et j'exerce la profession de life coach. Je suis un facilitateur de conception de projet, une accompagnatrice dans les chemins pleins d'ornières, un bâton sur lequel on se repose pour avancer plus loin...
Mes outils : Écoute, miroir, dynamisme. Mon objectif : faire aboutir une situation difficile.
Au États-unis, il y a pléthore de coach, pour tout et rien, ce qui fait beaucoup rire en France. J'ai même trouve sur le net, un coach en organisation de la maison. Mais ne nous y trompons pas. Souvent les États-unis ont des années d'avance sur l'Europe, et la societe ultra-liberale qui s'annonce un peu partout, laissera, comme ici, les gens moins "competitifs", en fragilite momentanee ou durable, seuls, sans miroir, en questionnement. Ils n'aurons pas forcement besoin d'un "psy", juste d'un professionnel qui sera a même de les faire sortir d'une mauvaise passe.
"Bref tes clients se payent des amis" me dit cette amie francaise a qui j'explique cela.
"Non ils payent un conseil de quelqu'un qui n'a aucun intérêt, pour qui l'affect n'entre pas en compte, et qui pourra lui dire des vérités qui le feront avancer. Un ami ne fait pas cela, un ami soutient, a la limite conseille, mais il ne fera pas changer de point de vue, ne feras pas sortir de l'enfermement.
Je m'aperçois que les coachs fleurissent en France aussi. Et les amalgames se font vite. Comme toute profession non règlementé, il y a ceux qui sont utiles, expérimentés, outilles... et puis les autres, les gourous de tout poils qui sont dans le pouvoir.
Un conseil pour choisir un bon coach : Qu'il soit supervise. C'est a dire que régulièrement il rencontre un(e) confrère(soeur) et échange sur les cas, les gens, les situations, sa pratique professionnelle. Être seul c'est tomber dans le pouvoir, être seul c'est s'enfermer soi-même... ne plus pouvoir aider l'autre, car ne pas accepter d'être aide soi-même.
Le lecteur avise que vous êtes aura remarque le "Internaltional" devant le coach... Et bien parce que c'est vrai. Grâce a la technique, a mon bien aime Skype, j'ai des clients francophones dans le monde entier... le dernier en date, le Canada, et un ressortissant Suisse, expatrie en Asie. Je jongle avec les fuseaux horaires, mais ils trouvent un réel soulagement a pouvoir s'exprimer dans leur langue maternelle, avec quelqu'un de la même culture et qui connait ce que représente l'expatriation/impatriation...
Alors et vous que pensez-vous de cette profession ?
Je ne vous embrasse pas de mon bureau mais de dessous mon palmier, car il vous est réserve !
XOXO de Nath - le coach en positivisme !
Comment ca tu "assumes" ? Ne l'as-tu pas crie sur tous les toits ?
Et bien au début non. Après je le disais mais me sentait mal. A cause des sourires entendus, des ricanements et des "qu'est ce que c'est que ces conneries encore ?" En France, mais aussi ici.
Et puis aussi bizarre que ca puisse vous paraitre, je ne savais pas vraiment dans quoi je me lançais.
Court résumé.
Psychothérapeute, accompagnatrice au projet socio-professionnel, formatrice, spécialiste de l'Enneagramme, je ne rentrais dans aucune des petites cases, chères aux américains.
Les métiers qui me correspondaient étaient tous sous condition d'obtention d'une licence professionnelle. En plus de payer (entre 250 et plus de 500 $/an)je devais soit avoir un diplôme américain et de l'expérience aux states, soit me lancer dans une reconnaissance de mon parcours français, et des explications a n'en plus finir... je l'ai commence il y a deux ans et j'y suis encore !
Mais la déprime de "la nana le cul devant la piscine" me guettais. Nous sommes tous différents et je ne PEUX pas rester sans travailler (j'vous jure j'ai essaye !).
J'ai donc chercher une solution... simple, rapide, pas chère.
Coach !
La première fois que j'en ai entendu parle c'est en 1997, ou la technique arrivait a peine en France, et ou tout ce qui venait des States était considéré, dans le monde du social, comme l'antéchrist.
Après il y avait les coach sportifs. Immortalise par celui de la star ac, la quintessence du winner. Celui qui a la gagne. Qui est prêt a tout pour réussir. Qui coupe le monde en deux catégories : les winners, et les loosers - les gagnants et les perdants.
Bref tout moi !
Alors j'ai fais des recherches, longues qui n'ont pas donne grand chose. Et puis comme souvent pour moi, une rencontre, quelqu'un de formidable. Cette femme m'a dit tu mets ce que tu veux dans toute chose, alors tu seras unique et on te payeras a cause de cela.
En effet ce n'est pas une titre qui fait la profession mais le professionnel qui l'exerce.
Je ne suis pas "Coach", je suis moi et j'exerce la profession de life coach. Je suis un facilitateur de conception de projet, une accompagnatrice dans les chemins pleins d'ornières, un bâton sur lequel on se repose pour avancer plus loin...
Mes outils : Écoute, miroir, dynamisme. Mon objectif : faire aboutir une situation difficile.
Au États-unis, il y a pléthore de coach, pour tout et rien, ce qui fait beaucoup rire en France. J'ai même trouve sur le net, un coach en organisation de la maison. Mais ne nous y trompons pas. Souvent les États-unis ont des années d'avance sur l'Europe, et la societe ultra-liberale qui s'annonce un peu partout, laissera, comme ici, les gens moins "competitifs", en fragilite momentanee ou durable, seuls, sans miroir, en questionnement. Ils n'aurons pas forcement besoin d'un "psy", juste d'un professionnel qui sera a même de les faire sortir d'une mauvaise passe.
"Bref tes clients se payent des amis" me dit cette amie francaise a qui j'explique cela.
"Non ils payent un conseil de quelqu'un qui n'a aucun intérêt, pour qui l'affect n'entre pas en compte, et qui pourra lui dire des vérités qui le feront avancer. Un ami ne fait pas cela, un ami soutient, a la limite conseille, mais il ne fera pas changer de point de vue, ne feras pas sortir de l'enfermement.
Je m'aperçois que les coachs fleurissent en France aussi. Et les amalgames se font vite. Comme toute profession non règlementé, il y a ceux qui sont utiles, expérimentés, outilles... et puis les autres, les gourous de tout poils qui sont dans le pouvoir.
Un conseil pour choisir un bon coach : Qu'il soit supervise. C'est a dire que régulièrement il rencontre un(e) confrère(soeur) et échange sur les cas, les gens, les situations, sa pratique professionnelle. Être seul c'est tomber dans le pouvoir, être seul c'est s'enfermer soi-même... ne plus pouvoir aider l'autre, car ne pas accepter d'être aide soi-même.
Le lecteur avise que vous êtes aura remarque le "Internaltional" devant le coach... Et bien parce que c'est vrai. Grâce a la technique, a mon bien aime Skype, j'ai des clients francophones dans le monde entier... le dernier en date, le Canada, et un ressortissant Suisse, expatrie en Asie. Je jongle avec les fuseaux horaires, mais ils trouvent un réel soulagement a pouvoir s'exprimer dans leur langue maternelle, avec quelqu'un de la même culture et qui connait ce que représente l'expatriation/impatriation...
Alors et vous que pensez-vous de cette profession ?
Je ne vous embrasse pas de mon bureau mais de dessous mon palmier, car il vous est réserve !
XOXO de Nath - le coach en positivisme !